​Quatre enfants en bas âge, un métier où il ne compte pas ses heures : la vie de Bertrand a fait qu’il a progressivement levé le pied sur ses activités sportives. Mais en gardant son tempérament de bon vivant qui l’avait déjà amené, à ses 20 ans, à dépasser les 90 kg, seuil qu’il a à nouveau franchi 20 ans plus tard.

C’est parce qu’il s’est senti à nouveau enfermé dans ce corps dont il avait réussi à se débarrasser une première fois, qu’il a décidé de pousser la porte du centre Naturhouse de Sainte-Foy-lès-Lyon. C’est là que sa réussite, exemplaire, l’a conduit à devenir Ambassadeur de la marque.

Quand j’ai poussé la porte du centre Naturhouse, ma balance m’annonçait 94 kg. J’avais déjà été au-dessus des 90 kg à mes 20 ans. Même si, à cette époque, je me dépensais beaucoup parce que j’étais très sportif - je faisais du Jujitsu, du Taekwondo en compétition, de l’entraînement à la plongée sous-marine et j’adorais danser toute la nuit quand j’allais en boîte. J’étais bon vivant et je ne me souciais pas de mon alimentation. Mais j’avais fini par ne plus être bien dans mes « pompes », ce qui m’avait conduit déjà une première fois à consulter une diététicienne libérale qui m’avait permis de tomber à 80 kg. Mais fin 2020, je me suis senti à nouveau dans cet ancien corps de mes 20 ans. J’ai vraiment eu une prise de conscience après Noël : j’étais un peu plus empêtré dans mes vêtements, et les mois précédents j’avais dû reprendre des tailles que je ne portais plus depuis mes 20 ans. Sur les photos de fêtes qui circulaient sur les réseaux sociaux, ma silhouette me rappelait cet âge là. Je me suis dit : « ah, là, il y a peut-être quelque chose à faire ! ».

La vie avançant, j’ai un peu arrêté mes activités sportives, mais j’ai continué à faire un peu de musculation et de cardio training à la maison, jusqu’à mon mariage il y a 8 ans. Là, j’ai levé le pied et commencé à « enchaîner » avec les enfants ! Je suis en effet papa de quatre petites filles qui ont entre 7 et 2 ans et demi. Ma prise de poids a vraiment connu une forte accélération à l’arrivée de mes jumelles en 2019, puis en 2020, où le premier confinement a constitué le point d’orgue. Même en vivant dans une maison avec un jardin, le seul plaisir qu’il nous restait, c’était ce que nous mettions dans notre assiette ! Je n’avais d’ailleurs jamais commandé avant et c’est durant cette période que j’ai découvert les Uber Eats et Deliveroo. Chaque moment de fête a aussi été marqué par une prise de poids que je n’ai pas reperdu ensuite.

Le rééquilibrage alimentaire défini par la diététicienne à cette époque avait été moins rigoureux parce que j’avais une forte activité physique et sportive et que j’étais très actif. Et il n’était pas accompagné de compléments alimentaires.

J’ai découvert l’existence de cette méthode lors d’un échange avec une amie qui l’avait suivie. Et lorsque j’ai appelé une amie diététicienne ensuite, que m’a-t-elle conseillé ? Naturhouse où elle avait travaillé...

Le 7 janvier 2021, je faisais mon premier bilan avec Manon. Perdre du poids a été l’une de mes deux résolutions prises pour 2021. Un objectif ambitieux que j’ai réussi à atteindre.

Dès le premier rendez-vous, j’ai eu un bon feeling avec Manon la diététicienne-nutritionniste. Et à mon sens, c’est très important. Elle me correspondait. Je ne marche pas au bâton et elle était assez fine et à l’écoute pour composer avec moi. L’échange était vertueux - « waouh, vous avez perdu tout ça ! » -, et ce d’autant que j’ai eu la chance de perdre rapidement. Les premiers résultats m’ont d’ailleurs globalement surpris : dès la première semaine, j’avais perdu entre 800 g et 1 kg. Je suis également arrivé déterminé : « cette année je vais perdre ! ». Je ne fais pas les choses à moitié : si on me dit tu manges des épinards, je mange des épinards, même si ma femme commande une pizza ! Et la méthode est clairement efficace. Aux compléments alimentaires auxquels je réagissais bien parce qu’ils étaient bien choisis et bien dosés pour lutter contre la rétention d’eau, contre le stress, etc., s’est ajoutée l’efficacité du suivi hebdomadaire qui permet notamment de ne pas se démotiver.

Oui ! La situation à vivre est un peu comparable à celle d’un fumeur – que je suis, d’ailleurs. J’ai arrêté plusieurs fois, et il y a toujours un moment où vous vous dites « là, j’en peux plus, j’en prends une ». C’est la même chose lorsqu’on opère un rééquilibrage alimentaire : à un moment donné, on a envie de craquer pour commander une pizza. Mais mon tempérament m’a permis de ne pas céder.

Ce qui a surtout changé, c’est l’appréhension de ce que je vais manger. Une tomate, même achetée en supermarché, n’est pas comparable à un coulis acheté en brique ou en boîte qui contient des sucres ajoutés. J’ai pris conscience de cela et de l’effet que cela peut avoir au quotidien. De la même manière, si je fais une raclette avec des copains, le lendemain, je vais manger des légumes et de la viande, mais pas de féculents. Le fait de me sentir plus léger m’a aussi donné envie de reprendre le sport. J’en fais deux fois par semaine. Cela fait partie intégrante de mon hygiène de vie.

Quel plaisir ça a été de pouvoir rentrer à nouveau dans des pantalons que je gardais précieusement dans ma garde-robe et d’avoir un ventre plat ! Tout comme d’avoir eu les retours de mon entourage sur ma silhouette. Et il y a eu le grand rayon de soleil : ma femme qui m’a dit « j’ai l’impression de vivre avec quelqu’un d’autre ! ». Quelle belle renaissance dans un couple !

C’est Manon qui m’a proposé de candidater pour devenir Ambassadeur, parce que j’avais eu de beaux résultats malgré une vie pas facile. J’ai un peu envie de rendre ce qui m’a été donné, donc pourquoi ne pas promouvoir la marque ? Ça n’est pas du fake : bonne méthode, bonnes valeurs et bienveillance !

Pour l’instant, je joue ce rôle en apportant, à mon échelle, mon témoignage auprès des uns et des autres. La séance de shooting que j’ai eue à Toulouse il y a quelques mois a constitué une super expérience et être aujourd’hui en vitrine est assez agréable. Mais être Ambassadeur, c’est surtout être vertueux : si on peut être un exemple, il faut se lancer.